Pourquoi choisir de devenir ambulancier paramédical ?
Christian, paramédical, animateur et créateur de la page Facebook » Les ambulanciers paramédicaux en colère offre occasionnellement des questions à ses lecteurs très pertinentes. Je prends en charge ces réponses afin qu’ils puissent répondre aux questions des aspirants ambulance ou du grand public sur les motivations qui nous ont fait vouloir faire ce travail. Bien sûr, j’ai volontairement laissé quelques réponses (humour, ironie, c’est le choix). Aujourd’hui, pourquoi choisir de devenir une ambulance.
- vincent : Reconversion après Bspp
- christophe : une vocation !
- cindy : Nous marchons autour et faisons une faveur ! !
- Xavier : J’aime ce travail depuis 4 ans je veux toujours faire l’ambulance même si parfois ce n’est pas facile
- Céline : Une passion. Un commerce. Je pratique depuis 4 ans. Et demi. Et je ne regrette rien. Et le blanc me convient si bien loooool
- Aleksandra : une vocation et un passion !
- Elo : Pour l’amour de la profession ! !
- Marty : Mais si parfois c niveau horaire dur, c un commerce ou il se sent comme étant utilisé pour quelque chose et j’aime conduire.
- Lylye : Pour le salaire ! Ah non ce n’est pas la bonne réponse lol
- thomas : pour le salaire bien sûr…
- Mickael : Je pratique cette profession depuis 9 ans par passion et je me sens utile à la société en servant les gens qui en ont besoin
- Anthony : Par passion
- Christelle : C’est trop bien payé… ! ! !
- Peuepokos : Pour liker « ambulanciers paramédicaux en colère » !
- Daniel : Pour la relation et l’assistance fournie aux autres.
- Isabelle : Oui, il s’agit de ne pas faire d’affaires d’être riche, c’est sur mon si gratifiant, une vraie vocation… Mais je confirme les niveaux de temps pas faciles
- Cédric : Une vocation
- Franck : 29 ans d’ambulance cette année ! Vocation ! ! !
- Vincent : Par passion
- Looky : une vocation 22 ans spv et 9 ans ambulance
- Lolotte : une vocation, avant d’être sauveteur, je suis allé à l’école de l’ordre de MALTE approfondi mes connaissances et ici, maintenant il est 22 ans d’affaires, donné aux malades un sourire est important, bonne journée
- Mélanie : Le désir de se sentir utile, d’apporter un peu de joie au patient pendant le voyage. J’ai quitté l’armée en décembre et j’ai travaillé comme AA depuis février en attendant de passer le DE. Je n’ai jamais été aussi fatiguée, ni si mal payée… Mais qu’est-ce que je suis heureux de me lever le matin pour aller au travail ! ! ! C’est de la folie ! ! ! Je ne savais pas que ça pourrait faire l’effet d’avoir une profession qui te fascine, et qui t’enrichit… !
- Sébastien : Pour les horaires des fonctionnaires !
- Loïc : Une vocation pour aider les autres, j’avais cette vocation quand un membre de la famille avait besoin d’une ambulance et j’ai vu l’énergie et professionnel de ces gens qui sont maintenant mes collègues
- Claudine : depuis près de 26 ans, j’ai tenu des hauts bas mais génial. Un dévouement total, croyez-moi
- Brice : aidez mon voisin, mais étant donné le point de vue que la société a sur ce travail, je commence à me demander si elle sert quelque chose.
- Damien : Pour la grandeur de ce métier ! ! ! ! Malgré les diverses difficultés (horaire, vie de famille, manque de reconnaissance, etc.) profession grandissant humainement en bref j’aime mon travail ! ! ! ! ! ! ! !
- Gilles : Pour la reconnaissance ! Lol
- Romain : Pour la main un sourire le mot qui peut être agréablement reçu par la personne transportée. Si je pouvais travailler plus je dirais oui tout de suite parce qu’il y a tellement de gens qui ont besoin d’une oreille ou d’une main et ba moi je dis que cette profession est un beau travail. Et j’ai beaucoup travaillé dans le domaine de la santé dans différents secteurs de la médecine, en passant par traumato et par la bloc de soins intensifs et puis le psy et tout m’a apporté ce que j’avais besoin pour me porter et s’envoler sur le sauvetage en écoutant la personne qui permet de rassurer la personne.
- valerie : Par respect pour l’être humain est l’amour de la profession mon triste par salaire est le patron qui n’exploite pas pfff
- Anne-Sophie : pour moi c’est une vocation et une passion. C’est à propos des horaires sont difficiles, mais je me vois mal avec le calendrier officiel
- El : Je m’arrête bientôt j la DEA ms Je suis trop dégoûté après 3 ans à peine je vais convertir à nouveau !
- jennifer : pour la relation et la gestion de notre emploi du temps sans avoir le patron sur votre dos et pourquoi ne pas « devenir un patron » à tour de rôle après
- lucie : Je vais commencer la formation et le commerce bientôt. Mon père est souvent transporté en ambulance et mon fiancé est ambulance, il m’a fait découvrir et je l’aime, j’étais secrétaire commercial (horreur pendant 39h par semaine) et femme de ménage (pas mon nettoyage de tasse). Je suis conscient des contraintes et du calendrier mais il y a aussi des cotes positives et très gratifiantes ! Pour moi en ce moment, c’est la découverte d’une vocation peut être.
- Philip : Inconscience… et ignorance.. ! ! !
- Pierre : Vocation et de rendre hommage aux ambulanciers qui sont venus chercher mon père qui était en détresse vitale et que les pompiers ne sont pas venus.
- Michelle : au cours de la 1987 j’ai fait un avp sérieux ! ! ! C’est à ce moment-là que j’ai compris l’utilité de cette affaire. Alors je suis devenu ambulancier l’année suivante ! ! ! !
- lucie : Non ce n’est pas partout pareil, mais c’est un choix dans la société dans laquelle vous travaillez, et il est vrai que dans les petites sociétés (je pense à celle de mon homme), cela dure en moyenne plus de 50 heures par semaine et ça change tout le temps. Il y a des régions où il est difficile de trouver DEA, donc des conditions que nous pouvons également demander de notre côté, à savoir faire un demi-temps qui est équivalent à 35h (qu’a fait un collègue de mon homme). Et je connais aussi des ambulanciers paramédicaux qui le font dans les 35 heures par semaine comme le cite Geo Bez.
- Mélanie : C’est le travail qui m’a choisi !
- Nicolas : Moi parce que j’ai eu une opération sérieuse et je connais les ambulanciers qui m’amènent à faire mon examen et cela m’a donné envie de le faire aussi et am idem bénévole à la Croix-Rouge française donc là mon encore plus motivé pour le faire
- Lesstas : Un libre-échange comme l’air ou n’est pas enfermé, juste une histoire pour deux et c’est grâce à cette profession que j’ai rencontré ma femme la mère de mes deux enfants qui et aussi ambulance
- Jonathan : Pas de choix… pour pouvoir exercer la profession de taxi, on m’a demandé de passer l’auxiliaire !
- rachel : le désir d’aider les gens en détresse, de ne pas être enfermés toute la journée en un seul endroit, plus de contact et le côté ludique de la profession (on ne sait jamais quoi ou sur qui on tombe et je trouve ça assez drôle).
- El Chauve : Pour le peu de temps passé dans la vie des gens, mais qui sert parfois beaucoup !
- Mélanie : Une vocation tracée depuis ma petite enfance !
- Dimitri : Je suis devenu ambulancier après avoir perdu un pari. Snif ! ! !
- Gégé L’ambulancier : Moi par conversion militaire… Après 5 ans d’armée, j’ai plus ou moins orienté l’intérieur et ça fait 10 ans aujourd’hui. Et contrairement aux autres, je vais être honnête, ce n’est probablement pas une vocation loin de là. J’aime ce que je fais certainement mais pour dire que c’est une passion etc… doit arrêter ! ! ! Je ne travaille pas pour la gloire moi-même, si je travaille c’est de payer mes factures, payer ma maison et nourrir ma famille comme tout le monde ! ! !
- gabriel : Pour trouver le taf sans plateau… Maintenant, la nuit et ne faire que 15 est une passion, même si le bol de 75*/* et là…
- Sophie : J’aime ce travail parce que les jours se suivent mais pas les uns les autres, chaque jour est différent. Déjà que la vie quotidienne est quotidienne ! Au moins, ce n’est pas le cas au travail.
- Laetitia : Je transportais pendant de nombreuses années et la laisser me donner l’amour et la passion de la profession de paramédical
- Chris : Par hasard. En remplacement de l’été… et après 2 mois, j’étais tellement accro que CCA direct. Et ça me retient depuis 10 ans.
- Gar : à des fins de vocation, de servir les gens, de contacter et de sauver des vies (urgences).
- Jérôme : J était un pompier volontaire et c’est l’ambulance qui m’a le plus attiré
- Laurent : Pour moi, c’est aider les gens en difficulté, sociale, et enfin sur une note d’humour la sirène et le Giro d’arriver à temps pour l’apéritif
- Stéphane : Je pense que j’ai toujours voulu le faire. J’ai fait mes études dans la branche…
- Hein ? Non, pas sanitaire et social,… BTA FORESTIER ! !
- Kevin : J’ai toujours voulu être ambulancier ! ! !
- Audrey : C’est le boulot qui m’a choisi ! Et je ne regrette rien…
- rachel : À la mort de mon grand-père (15 août), j’ai aidé l’ambulancier paramédical et je dis « l’ambulancier » pour brancher et porter le corps du véhicule à la maison ! ! ! (un CCT Je ne vous rassure pas un ambu) Une vocation est née… A l’époque, j’étais déjà « en colère » de voir une seule personne travailler en vacances ! ! ! Et triste aussi pour mon Pepe… plus j’aime conduire, aider les autres à faire une faveur, etc…
- Franny : c’est un beau travail AMBULANCE, et je les salue tous
- Pierre : Ambulance employée au début, avec des conditions de travail éblouissant… J’ai eu l’occasion d’aller à l’indépendance et maintenant ce travail est un vrai plaisir…
- Zibi : Par passion
- Samuelle : Pour me rendre utile au début, et aujourd’hui je sais que c’est beaucoup plus, c’est un plaisir de partager la route avec vous !
- Ju Vocation pure. Et avec une équipe d’or (y compris les patrons), des patients en or et un travail magnifique (berges de la Loire), c’est plus qu’un plaisir de se lever le matin.
- Alain : Parce que moi aussi… je voulais être un héros… et aussi, ça paie sérieux.
- Je voulais un yacht. Une villa… belles voitures… ! ! !
- Marie : Par passion !
- Aurelia : Une passion depuis une petite fille ! Pk je ne sais pas ! ! C’est comme ça ! Ce travail et pas un autre ! !
- Nathalie : Pour me rendre utile aux gens cette profession n’était pas évidente au début et grâce à de superbes collègues en formation j’aime de plus en plus cette profession et maintenant je ne changerais pas malgré toutes les contraintes que nous le connaissons
- Laetitia : être utile pour les malades et leur famille j’aime conduire j’aime bleus lol et j’ai aimé être indépendant malgré tout sauf qu’à la fin de la journée sa fatigue, il fait mal au dos que les malades ne sont pas tous gentils…
- Karim : Parce que j’aime être considéré comme un larbin
Devenir une ambulance : un choix important
Si vous vous demandez, n’hésitez pas à naviguer sur le site, lire et découvrir les témoignages, anecdotes des ambulanciers paramédicaux . Choisir de devenir une ambulance est un reflet, un choix de motiver pour ne pas être trompé.
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